Rapport réel d’adéquation « complémentaire » – Relación real de conveniencia «complementaria»

2. Rapport réel d’adéquation « complémentaire » Après avoir vérifié la nécessité d’un sujet de départ et d’un sujet final  pour que la valeur existe, nous observons que cette relation ne fait pas seulement référence au sujet final mais aussi à d’autres éléments qui se conjuguent à l’objet estimé pour permettre l’existence de la relation… Seguir leyendo Rapport réel d’adéquation « complémentaire » – Relación real de conveniencia «complementaria»

Salve Regina

Hail Holy Queen Hail, Holy Queen, Mother of Mercy,  our life, our sweetness and our hope.To you do we cry,poor banished children of Eve. To you do we send up our sighs, mourning and weeping in this valley of tears Turn then, most gracious advocate,your eyes of mercy toward us,and after this exileshow unto us the blessed fruit… Seguir leyendo Salve Regina

LECCIÓN 18 – SINGULAR Y PLURAL

SINGULAR Y PLURAL La mayoría de los sustantivos en español pueden ir en singular o en plural. Sin embargo, hay algunos sustantivos que admiten solo la forma en singular (salud o sed) o solo en plural (gafas o víveres). Algunos sustantivos pueden utilizarse tanto en singular como en plural, sin que cambie el número de… Seguir leyendo LECCIÓN 18 – SINGULAR Y PLURAL

ÊTRE UNIVERSITAIRE AUJOURD’HUI 

          L’évolution et l’adaptation de l’enseignement de l’économie à la réalité actuelle ne peut pas être déterministe, mais créative et harmonieuse dans la mesure où le progrès admet la variation et la libre génération. L’enseignement peut avoir une première conséquence négative : que l’étudiant protégé par les règles qui lui ont été imposés, sans avoir la capacité pour donner une explicaiton d’elles ni avoir saisi le sens. Une telle action est contraire à une attitude proprement rationnelle. Il n’y a pas de critique possible mais un conformisme répétitif qui empêche tout développement de la propre personnalité. Le véritable enseignement est celle qui montre les principes sur lesquels repose la conduite enseignée. Ainsi, l’action future ne sera pas seulement protégée par des règles, mais sera capable d’invoquer ces règles. Cette capacité fait l’action potentiellement auto-critique et élimine le conformisme et l’application indiscriminée des règles, et permet l’avancement et le développement personnel qui donnera les réponses appropriées aux nouvelles situations.

          Dans l’enseignement universitaire, il est nécessaire l’apparition des caractéristiques essentielles de cette institution séculaire, parmi lesquelles comprennent le souci universel de la connaissance, la liberté dans la recherche, la spontanéité dans les relations entre les enseignants et les étudiants ou l’indépendance du pouvoir politique. L’Université a créé un style de vie qui est inséparable de la compréhension occidentale du monde. Ce style fait que le savoir soit la méthode de l’avancement de la société et de la discipline pour la formation des générations futures. Pour essayer de renforcer ces caractéristiques essentielles de l’Université, elle ne peut pas tourner sur elle-même et stéréotyper les processus dans un académisme stérile. On ne peut pas perdre le lien entre la théorie et la pratique en succombant dans un intellectualisme trop pur ou trop soumis à la politique, ou, à l’autre extrémité, perdre le sens et l’orientation des connaissances pratiques. À mon avis, les sciences humaines ne peuvent pas être déconnectées des professions liées à la gestion économique en étant réduites aux actions éminemment techniques. Je ne considère pas que le style universitaire se renforce quand il se sépare radicalement de la culture scientifique et technique des sciences humaines. Nous devrions retrouver le sens de l’expression «être universitaire » qui implique un mode de vie, une méthode globale du travail, une vision du monde qui est stable mais aussi dynamiquement ouverte à quitter l’école.

 JJ Franch Meneu

SER UNIVERSITARIO EN NUESTROS DÍAS   

          La evolución y adaptación de la enseñanza de la economía a la realidad  actual  no  puede ser determinista sino creadora y armónica en cuanto que se afirma el progreso que como tal admite la variación y la libre generación. La enseñanza puede tener una primera consecuencia negativa que es que el alumno actúe amparado en las reglas que se le han expuesto, sin tener capacidad para dar una explicación de ellas ni haber captado verdaderamente su sentido. Tal actuación, evidentemente, es contraria a una  actitud propiamente racional. No hay posible auto crítica sino un mero conformismo repetitivo que impide todo desarrollo de la propia personalidad. La auténtica docencia es la que pasa de ese estadio para mostrar los principios sobre los que se apoya la conducta enseñada. De esta forma, la actuación futura no estará sólo amparada en reglas, sino que será capaz de invocar tales reglas. Tal capacidad hace a la acción potencialmente auto crítica y, por consiguiente, elimina el conformismo y la aplicación indiscriminada de las reglas, así como posibilita el avance y el desarrollo personal que dará las respuestas oportunas ante las nuevas situaciones.

          En la enseñanza universitaria deben aparecer los rasgos esenciales de esta institución multisecular entre los que cabe destacar la preocupación universal por el saber, la libertad en su búsqueda, la espontaneidad en las relaciones entre maestros y discípulos o la independencia del poder político. La Universidad ha creado un estilo de vida que es inseparable de la comprensión occidental del mundo. Ese estilo hace del saber el método de avance de la sociedad y la disciplina para la formación de las futuras generaciones. Para tratar de consolidar estos rasgos esenciales la Universidad no puede replegarse sobre sí misma y acabar estereotipando sus procesos en un academicismo estéril. Tampoco se puede perder la conexión entre la teoría y la práctica cayendo en un intelectualismo demasiado puro o demasiado sometido a lo político, o, en el otro extremo, perdiendo el sentido y orientación del conocimiento práctico. En mi opinión las humanidades no se pueden desconectar de las profesiones relacionadas con la gestión económica quedándose éstas reducidas a las acciones eminentemente técnicas. No considero que se realce el estilo universitario cuando se separa radicalmente la cultura científico técnica de las humanidades. Tendríamos que recuperar el sentido de la expresión «ser universitario» que implica un modo de vida, un método global de trabajo, una visión del mundo que se mantiene estable pero dinámicamente abierta al dejar las aulas.

LECCIÓN 31 – AL / DEL – ARTÍCULO CONTRACTO

ARTÍCULO CONTRACTO Se forma cuando las preposiciones a y de aparecen delante del artículo el. La preposición se une al artículo por fusión de vocales. ARTÍCULO CONTRACTO A + EL: AL Voy a + el cine: Voy al cine. DE + EL: DEL María es la hija de + el fontanero: María es la hija del fontanero. Excepción Al escribir, el artículo no se contrae si… Seguir leyendo LECCIÓN 31 – AL / DEL – ARTÍCULO CONTRACTO

TAUX DE RESERVES DE 100% 

TAUX DE RESERVES DE 100%  Ne croyez pas qu’il y a une erreur d’impression dans le pourcentage. Je veux faire écho justement du lancement récent au marché, Ils ne croient pas qu’il ya eu une erreur d’impression en pourcentage. Je veux faire écho juste le lancement récent du marché, publiquement, d’un missile intellectuel très puissant… Seguir leyendo TAUX DE RESERVES DE 100% 

DISCRIMINATIONS DANS LE JEU ÉCONOMIQUE – DISCRIMINACIONES EN EL JUEGO ECONÓMICO

DISCRIMINATIONS DANS LE JEU ÉCONOMIQUE           Dans toute économie de marché digne de ce nom, le cadre juridique dans lequel elle opère doit être simple et stable dans la mesure où les règles soient soumises aux changements constants, l’information fournisse devient stérile et superflue. Le consentement volontaire des règles génère une promesse de conduite que nous… Seguir leyendo DISCRIMINATIONS DANS LE JEU ÉCONOMIQUE – DISCRIMINACIONES EN EL JUEGO ECONÓMICO

ÉCONOMIE ET ​​ÉCOLOGIE HUMAINE

Pour reconduire les problèmes écologiques vers des situations plus pratiques, la science et la technique modernes, de plus en plus fécondes, offrent des nombreuses solutions et alternatives faisables. Mais tout ce bagage de résolutions est face à un mur, difficilement surmontable, créé par l’inertie des coutumes humaines qui, éblouies par le mirage du «homo économicus», jouisseur à court terme, se autonourrit et se régénère dans son procès quasi-mécanique vers une consommation matérielle de plus en plus instantanée, éphémère et variable. L’économie de marché elle-même est neutre par rapport aux objectives. Les directrices sont marquées par des acteurs avec une liberté personnelle. Un tel système de libre échange multiséculaire oriente automatiquement les ressources productives vers l’augmentation des flux de biens et des services de grande demande. Mais les personnes qui prennent des décisions dans ce réseau sont ceux qui doivent préciser, avec du sens commun, ces flux et leur réordination.

La solution des problèmes environnementaux n’est pas seulement un problème technique, mais surtout un problème d’amélioration du comportement humain, et la difficulté est que les habitudes ne changent pas facilement, car il est nécessaire un haut degré de réflexion sur les objectifs ultimes et l’auto-maîtrise personnelle, familiale et sociale. Rectifier le cours mécanique des modèles de comportement massifié est de plus en plus complexe et  nécessaire  que l’apport des moyens d’amélioration technologiquement efficaces. Il est utopique de penser au succès durable dans le domaine écologique sans une transformation profonde de nos coutumes et nos idées.

Notre civilisation d’affaires et du commerce, en mythifiant l’accumulation matérielle et en donnant la priorité à la forme sur le fond, au présent sur l’avenir, au court sur le long terme; en donnant la priorité à l’éphémère sur le pérenne et au continent sur le contenu. Ce n’est pas seulement préjudiciel pour l’écosystème physique et naturel, mais pour les relations sociales désintéressées ; en plus, il vicie le contact humain en l’imprégnant d’un sens utilitaire qui vide son sens contemplatif. Cette vision contemplative serait cela qui valorise simplement l’amitié pour l’amitié, la conversation pour la conversation ou la connaissance pour la connaissance, comme les classiques aimaient faire. Pour eux, « savoir » n’était pas « pouvoir », mais simplement « savoir ». Une telle dégradation progressive des relations humaines et donc de cet «environnement humain» doit être noté comme un coût social important de comportements activistes.

L’ART DE L’ÉCONOMIE 

L’ART DE L’ÉCONOMIE            Plusieurs économistes de l’histoire de la pensée économique ont soulevé la question, qui n’est pas banale, de si l’Économie était une science, une technique ou un art. Plus précisément, Leon Walras parle de cette question dans ses «Eléments d’économie politique pure». Plus précisément, il établit une distinction entre les phénomènes naturels et… Seguir leyendo L’ART DE L’ÉCONOMIE